Qu’est-ce qu’un référencement éthique ?
Les humains ont soif d’éthique. Source éthique. Ethique élevé. Nous sommes attirés par l’idée d’éthique car elle nous donne un cadre pour comprendre l’impact de notre existence. Les humains étudient la philosophie morale, qu’ils le veuillent ou non. Nous utilisons nos jugements sur la justesse ou l’inexactitude des actions comme base pour prendre nos propres décisions.
L’éthique que nous adoptons nous aide à nous définir personnellement et en tant que société. Face à notre empreinte limitée sur le temps et l’immensité de notre existence, faisons ce que tout le monde fait.
La définition de cette pratique
Les robots ne sont pas des appareils «moraux». Ni sont des sites Web. Chaque moteur de recherche a sa propre version de ce qui est acceptable. Deux moteurs de recherche pourraient avoir des stratégies ou techniques acceptables directement en conflit. Vous n’avez qu’un seul site.
Voici les bases de cette technique :
Un référencement éthique pour un moteur de recherche serait contraire à l’éthique pour l’autre. C’est là que les vrais êtres humains entrent en scène. Quelles que soient les décisions prises, le code héritera de leurs positions de bonnes comme de mauvaises. Il portera leurs angles morts et leurs préjugés. Chaque actif numérique hérite de l’éthique et du pouvoir de l’entreprise qu’il représente, des personnes contribuant au code et aux commentaires, ainsi que des comportements de leurs utilisateurs.
Créer une définition de l’éthique centrée sur l’homme
En général, les questions éthiques n’ont pas de bonne ou de mauvaise réponse. Au lieu de cela, il s’agit de la pensée expérimentale de prendre une situation et de la tenir contre un cadre moral.
Le code ne peut pas en soi décider de renvoyer une application controversée permettant aux hommes saoudiens de contrôler les mouvements de femmes dépendantes. Cette application est-elle un exemple de modernisation de la misogynie ou une autre forme de relativisme ? Les arguments des uns et des autres mènent à un fossé profond entre les droits de l’homme et une technologie qui ne correspond tout simplement pas à la réalité.
